Dans un monde où le marketing se résume souvent à des investissements massifs et des engagements sur le long terme, une petite agence de Bretagne bouscule les codes.
AlloReflexo, créée par Adam Rotard et Frank Olsen, a trouvé la recette miracle pour les réflexologues et autres praticiens de santé souhaitant remplir leurs agendas sans risquer leur chemise.
Soyons honnêtes, les solutions marketing traditionnelles, avec leurs frais fixes, abonnements et promesses en l'air, ont souvent déçu. Les praticiens, se retrouvent coincés avec des stratégies coûteuses qui n’offrent que des résultats aléatoires.
Et c’est là qu’intervient AlloReflexo, un peu comme un super-héros venu à la rescousse, mais en plus subtil.
Lancé il y a tout juste un an, AlloReflexo s’est rapidement fait un nom dans le petit monde du marketing spécialisé.
Leur promesse ?
- Vous ne payez que pour les rendez-vous réellement effectués. Pas de rendez-vous, pas de facture.
- Et si l’envie vous prend de mettre fin à la collaboration, il vous suffit de dire au revoir. Pas de préavis, pas de frais cachés, juste un grand "merci et à bientôt".
Pour les sceptiques – et il y en a toujours – cette approche paraît trop belle pour être vraie. Et pourtant, elle fonctionne. Les réflexologues qui ont testé le service ont vu leur agenda se remplir comme jamais.
Alors, certes, AlloReflexo ne vous promet pas la lune (seulement 30 rendez-vous mensuels minimum), mais ils vous assurent au moins de ne pas jeter votre argent par les fenêtres.
Si vous êtes un praticien de santé fatigué des fausses promesses marketing, il est peut-être temps de vous tourner vers cette petite agence bretonne qui, sans faire de bruit, réinvente le business des rendez-vous. Après tout, qui ne voudrait pas d'un service où l’on ne paye que pour les résultats ? Ça change des discours habituels, n’est-ce pas ?
En conclusion, AlloReflexo ne prétend pas révolutionner le marketing (peut-être bien que si), mais elle offre une alternative rafraîchissante, sans engagement, aux réflexologues et praticiens de santé.
Et si c’était ça, la vraie innovation ?