L'Autorité fiscale fédérale des Émirats arabes unis (FTA) vient d'annoncer un report significatif de la date limite pour le dépôt des déclarations et le paiement de l'impôt sur les sociétés, apportant ainsi un soulagement bienvenu aux entreprises locales. Cette extension, valable jusqu'au 31 décembre 2024, vise à soutenir les entités nouvellement constituées, leur offrant plus de temps pour s'adapter au nouveau régime fiscal. Une décision accueillie favorablement dans un contexte de transition fiscale complexe.
L'Autorité fiscale fédérale (FTA) a accordé une extension significative de la date limite pour le dépôt des déclarations d'impôt sur les sociétés et le règlement des montants dus. Cette décision intervient alors que de nombreuses entreprises, notamment celles nouvellement constituées, peinaient à s'adapter au nouveau régime fiscal récemment instauré dans le pays.
Afin d'alléger la charge administrative et de faciliter la transition vers le régime d'imposition des sociétés, la FTA a décidé de repousser la date limite de dépôt des déclarations au 31 décembre 2024 pour les entreprises dont la période fiscale se termine au plus tard le 29 février 2024. Cette mesure permet aux entités concernées d’avoir davantage de temps pour s’organiser et se conformer aux nouvelles exigences légales.
L'extension, inscrite dans la décision n°7 de 2024, s'applique plus spécifiquement aux entités imposables qui ont été constituées, établies ou reconnues après le 1er juin 2023. Ces entreprises sont confrontées à une première période d'imposition inférieure à 12 mois, ce qui rend la préparation des documents fiscaux d'autant plus complexe.
Cette prolongation est perçue comme un soulagement pour les entreprises, qui doivent non seulement ajuster leur gestion comptable et administrative, mais aussi se familiariser avec les exigences complexes du nouveau système fiscal. La FTA, en repoussant les délais, montre son engagement à accompagner les acteurs économiques du pays tout en assurant la bonne mise en œuvre de son nouveau cadre fiscal.
Ce report pourrait aussi encourager une meilleure préparation des entreprises à respecter leurs obligations fiscales, tout en offrant un délai de réajustement pour la mise en place des processus de conformité nécessaires.