Avec ses 2 000 mètres de hauteur prévus, la future Rise Tower devrait surpasser le Burj Khalifa de Dubaï et redéfinir les limites de l’architecture mondiale. Ce projet pharaonique marque une nouvelle étape dans la course aux gratte-ciels géants au Moyen-Orient.
Riyad prépare un projet colossal : la Rise Tower, une tour de 2 000 mètres de haut qui pourrait bientôt dépasser le Burj Khalifa et devenir le plus haut gratte-ciel du monde.
Le Burj Khalifa, symbole iconique de Dubaï culminant à 828 mètres, pourrait perdre sa couronne au profit d’un nouveau géant saoudien. Conçue par le cabinet d’architecture international HKS, la Rise Tower atteindrait deux kilomètres de hauteur et compterait 678 étages abritant hôtels de luxe, restaurants, bureaux et plateformes d’observation.
Le projet, soutenu par le Fonds d’investissement public saoudien (PIF), s’inscrit dans le cadre du développement futuriste baptisé North Pole, une « ville du futur » s’étendant sur plus de 300 km².
La Rise Tower ne serait pas le seul record architectural du Royaume : à Djeddah, la construction de la Jeddah Tower, censée dépasser le kilomètre de hauteur, a repris après plusieurs années d’arrêt. Déjà 63 étages sur les 157 prévus sont sortis de terre, pour une livraison espérée en 2028.
D’ici là, le Burj Khalifa conservera encore quelques années son titre de tour la plus haute du monde. Mais la compétition dans le ciel du Golfe ne fait que commencer.
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