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Jason Weistroffer : "Il fait bon vivre ici"

Jason WeistrofferJason Weistroffer
Rencontre avec Jason Weistroffer, Responsable des services et des opérations au sein de Lexmark à Budapest
Écrit par Lionel Ferrando
Publié le 8 octobre 2019, mis à jour le 2 décembre 2020

lepetitjournal.com a rencontré Jason Weistroffer, Responsable des services et des opérations au sein de Lexmark à Budapest. Il nous raconte pourquoi il a décidé de s'installer dans la capitale hongroise.

 

Lepetitjournal.com : Bonjour Jason, parle-nous de toi.

Jason Weistroffer : je suis en Hongrie depuis 12 ans. Je suis ingénieur et je suis venu pour faire mon stage de fin d’études  de seulement 6 mois à Budapest. Et ça fait finalement 12 ans que j’y vis.

 

Et quels avantages vois-tu pour nos lecteurs ?

Le premier, il y a de nombreux boulots avec peu de chômage ici. Donc pas de souci pour trouver du travail. Le deuxième : être natif dans une autre langue (français, allemand ou autre) vous donne facilement accès à des postes au sein de multinationales. Le point qui m’a fait rester : accéder à des postes que je n’aurais pas pu avoir en France avec une évolution constante.

 

Comment s’est déroulée cette évolution ?

J’ai travaillé à Budapest pendant 2 ans, ensuite je suis parti à la campagne pendant 2 ans puis je suis revenu travailler à Budapest et là j’approche de ma 9ème année chez Lexmark.     

 

Que retiens-tu au global ?  

Pour faire simple, Budapest c’est vraiment une superbe ville même si l’immobilier a récemment bien augmenté. Et pour moi, ça reste vraiment l’une des plus belles capitales d’Europe. Au niveau professionnel l’évolution a été constante. Ajoutons à cela la facilité et la qualité de vie que j’ai trouvées à Budapest et « le tableau est complet ».  J’aurais pu être tenté par Lisbonne ou la Grèce mais les avantages ici sont trop nombreux. Par exemple : on vient d’acheter un appartement avec ma copine et je vais au boulot en 10 minutes à pied. Chose que je n’aurais surement pas pu avoir à Paris ou même Lyon. Prenons aussi l’exemple du quotidien : je peux par exemple aller assister à une réunion de lancement d’un livre d’un français entouré d’autres Français, puis aller boire une bière et aller au restaurant avec des ami(e)s. Chose qui me serait financièrement plus compliquée en France.

Au final, Budapest, c’est la bonne taille de ville pour moi : ni trop grand ni trop petit. On trouve tout ici, on peut se déplacer facilement. C’est un bon mix, hyper joli et cosmopolite. En gros, c’est simple, il fait bon vivre ici.

lionel ferrando
Publié le 8 octobre 2019, mis à jour le 2 décembre 2020

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