Des rassemblements se sont tenus dans les grandes villes du pays (Auckland, Wellington, Christchurch) ainsi que dans des villes de moindre importance.
Au total, plus de 18 000 enseignants néo-zélandais se sont réunis dans l'ensemble du pays pour dénoncer leurs conditions de travail et marquer leur refus de l'offre faite par le cabinet de Jacinda Ardern.
Le syndicat enseignant NZEI Te Riu Roa demande une augmentation de 16% des salaires. Le gouvernement ne leur a proposé que 2,2 à 2,6% sur 3 ans.
Les professeurs dénoncent également des conditions de travail délicates. Certaines de leurs revendications portent sur une amélioration de l'environnement éducatif avec notamment une augmentation des effectifs de personnel d'encadrement scolaire.