Depuis la fin du mois de juin, les files d’attentes s’allongent devant les centres de dépistage des grandes villes de Nouvelle-Zélande, et les médecins se voient obligés de multiplier les heures supplémentaires. Pour lutter contre ce problème, le ministère de la Santé a décidé de changer la législation d’accès aux tests.
Selon les nouvelles restrictions, passeront en priorité : les personnes avec des symptômes respiratoires qui ont été en contact avec des cas avérés ou suspectés, ceux venant d’entrer sur le territoire ou ceux ayant eu un contact avec un voyageur étranger dans les 14 derniers jours. Le nouveau ministre de la Santé, Chris Hipkins, assure que cela ne met pas en danger les autres demandeurs, mais place simplement en priorité ceux qui ont le plus de risques d’être infectés. Il déclare « je souhaite qu’aucun néo-zélandais ne pense que la raison pour laquelle on ne voit pas le covid au sein de notre pays est que l’on ne fait pas assez de test. »