À partir du mardi 26 janvier à minuit, chaque passager d’un vol à destination de la Nouvelle-Zélande devra fournir un justificatif de test au COVID-19. Dans le cas contraire, ces passagers peuvent se voir refuser l’accès au pays.
Bien que la Nouvelle-Zélande figure parmi les exemples de la gestion de la pandémie de COVID-19 (76 cas recensés du 5 au 18 janvier), cela n’empêche pas le pays insulaire de renforcer ses précautions face à la propagation du virus.
Le gouvernement néo-zélandais a ainsi mis à jour les conditions d'entrée en Nouvelle-Zélande. Désormais, chaque passager d’un vol à destination du pays se verra être dans l’obligation de fournir un justificatif de test négatif au COVID-19, effectué dans les 72h avant le départ.
La Nouvelle-Zélande indique compter sur la responsabilisation des compagnies aériennes qui devront appliquer le protocole à la lettre. Elles seront dans l’autorisation de refuser l’embarquement à quiconque ne remplit pas les conditions de test exigées par le gouvernement.
À l’arrivée, chaque passager devra obligatoirement effectuer un isolement de 14 jours. À partir du 8 février, des frais pour infraction ou une amende allant jusqu’à 1000 dollars pourront être infligés aux personnes ne respectant pas le protocole.
Le gouvernement néo-zélandais précise que ces nouvelles mesures ne concernent pas les voyageurs en provenance d'Australie, d'Antarctique ou de la plupart des îles du Pacifique.
NZ to require pre-departure Covid-19 tests for most countries starting next week. By @AnnaCwhyte https://t.co/627N4kTemw pic.twitter.com/ggqFEvi2jA
— 1 NEWS (@1NewsNZ) January 18, 2021