Vous souhaitez partir en Australie ? Rendez-vous à l'Ambassade australienne le 5 novembre à Paris

Pour la première fois, un salon dédié à tous ceux qui souhaitent partir vivre, étudier ou travailler en Australie ouvre ses portes samedi 5 novembre de 10h à 18h, au sein de l’Ambassade australienne à Paris.

Expatriés, conférenciers, prestataires de voyages, universités australiennes…ils seront nombreux à vous accueillir samedi 5 novembre, de 10h à 18h à l’Ambassade d’Australie dans le 15ème arrondissement de Paris. L’inscription est gratuite et ouverte à tous sur ce lien

Le premier salon entièrement dédié à l’Australie

Organisé par StudiesUP - Représentant officiel des universités étrangères en France – avec Tourism Australia comme l’un des partenaires, le salon est le tout premier du genre en France. Les visiteurs peuvent en savoir plus à la fois sur les cursus, la vie étudiante, le mode de vie australien, les opportunités d’y travailler et les différents visas.  Pour cela, l’organisateur annonce la présence de plus de 40 professionnels, mais surtout environ 35 établissements scolaires et universités australiennes représentées ; Parmi elles, les universités de Sydney, New Castle ou encore Melbourne. La journée sera pontuée d’animations et de présentations, mais aussi de retours d’expériences d’étudiants et jeunes travailleurs.

L’Australie cherche à attirer les étudiants internationaux

Aujourd’hui, il existe un visa vacances travail ouvert à tous les jeunes de 18 à 30 ans (35 ans dans certains pays) qui permet de travailler pendant 3 ans en Australie, d’y étudier pendant 4 mois ou d’y voyager. Il est nécessaire de posséder un passeport éligible.

L’Australie fait partie des meilleures destinations au monde pour les études à l’étranger, en témoignent les universités classées dans le QS World University Rankings 2022-2023 à Melbourne, Sydney et Canberra. En 2019, près de 180.000 étudiants étrangers étaient inscrits dans un cursus australien. Le chiffre a baissé de 7% en 2020 et de 17% supplémentaires en 2021, après que le pays ait fermé ses frontières aux étrangers. Face aux défis économiques et à une certaine pénurie de main d’œuvre, le gouvernement Albanese met donc les bouchées doubles pour inciter les étudiants internationaux à (re)venir, obtenir leur diplôme puis rester dans le pays, à coups de réduction de frais de scolarité et de salaires très confortables.