En Corée du Sud, le programme de fin de vie (appelé "Well-dying law") est entré en vigueur dimanche 4 février. Il n’est pas question d’euthanasie, mais d’un arrêt des soins qui maintiennent en vie les patients — et non des soins palliatifs qui assurent son bien-être. Mais il faut remplir des critères bien précis pour formuler une telle demande. Tout d’abord le malade doit être âgé de plus de 19 ans. Ensuite, celui-ci doit-être diagnostiqué comme étant en phase terminale par au moins deux médecins.
Au cours du programme pilote qui s’est terminé le 15 janvier — il a débuté en octobre —, les centres médicaux habilités ont reçu 9 336 demandes d’arrêts des soins.