

Alors qu’avec l’été, les maladies saisonnières comme la grippe ont tendance à disparaitre, il est peu probable selon les experts que ce phénomène se constate aussi pour le COVID-19. En effet, les températures élevées de certains pays n’ont pas réussi à totalement endiguer la pandémie dans ces pays, ce qui présage donc que l’été ne sera pas un des vecteurs de sa disparition. On a d’ailleurs pu constater des situations préoccupantes au Brésil ou encore en Egypte qui sont pourtant des pays où les températures sont élevées en cette période.
De plus, ce virus n’existe pas depuis assez longtemps pour qu’on puisse aisément prédire une date de fin de sa propagation. Des études contradictoires ont d’ailleurs été menées à différents endroits du globe ce qui fait qu’elles ne permettent pas d’être certain de sa future évolution. Ce qui reste cependant sûr est le fait que l’hiver nous rend plus enclin à tomber malade : le froid provoque des irritations des voies nasales et respiratoires, nous rendant plus sensible aux infections virales.