C’est après avoir lu beaucoup d’écrits concernant une plante médicinale des EAU censée traiter la cataracte qu’une jeune diplômée de la New York University d’Abu Dhabi a décidé d’orienter ses recherches sur cette fameuse plante. Elle compte ainsi trouver un moyen d’intégrer les bienfaits de cette plante à nos moyens de médecine moderne. Un choix que la jeune Américaine a fait car elle souhaitait dès le début orienter ses recherches vers des plantes encore peu connues et peu étudiées.
Elle s’est rendu à Masafi afin d’y collecter des échantillons qu’elle a ensuite analysés pour en extraire les différentes composantes. À noter que la plante en question, nommée « Cleome rupicola », n’était que très peu connue, si ce n’est pour le fait que les Emiratis l’utilisaient dans le passé pour traiter la cataracte. Elle a ainsi réussi à identifier de nombreux anti-oxydants qui alimenteraient la thèse selon laquelle ces derniers sont la meilleure clé permettant de se prémunir contre la cataracte. C’est après des mois de travail qu’elle est parvenue à purifier 1mg de cette substance qui correspond à la première étape de sa recherche d’un traitement contre ce mal.