Selon une récente étude de l’Energy Efficiency and Conservation Authority (EECA), si les changements liés au télé-travail sont conservés ils pourraient grandement aider à construire un mode de vie plus écologique.
En effet, avant le confinement, les ¾ des Néo-Zélandais allaient quotidiennement au travail en voiture, créant ainsi 15 millions de tonnes de CO2 par an. Or, si chaque habitant décidait de faire un jour de télétravail par semaine, cela permettrait de réduire la production annuelle de 84.000 tonnes de CO2.
De plus, en remplaçant les vols à motifs professionnels entre Auckland et Wellington par des conférences vidéo par exemple, on économiserait encore 65.000 tonnes de carbone par an.
Le télé-travail serait donc bénéfique pour la planète, mais également pour nous-même, puisque cela purifierait l’air des villes, réduirait les embouteillages ou encore permettrait d’améliorer l’humeur des travailleurs qui pourraient passer plus de temps en famille.