Dans un contexte géopolitique où les tensions au Moyen-Orient persistent, la Nouvelle-Zélande a répondu à la demande des États-Unis en rejoignant une coalition internationale visant à sécuriser la navigation dans la mer Rouge, zone stratégique pour le commerce mondial.
Une opération a été dirigée contre les Houthis au Yémen, un groupe armé qui contrôle une partie du pays et menace la stabilité de la région. Malgré les avertissements concernant les risques de pertes civiles, le gouvernement néo-zélandais a décidé d'envoyer une équipe de six personnes pour participer à des frappes ciblées contre les installations des Houthis et assurer la sécurité maritime. La composition de cette équipe comprenait des analystes du renseignement, des planificateurs de mission et un conseiller juridique, témoignant de la volonté de la Nouvelle-Zélande de contribuer de manière significative tout en respectant les normes internationales et les règles d'engagement néo-zélandaises. Depuis le début du déploiement, l'équipe a été activement impliquée dans des opérations de frappes, comme en témoignent les rapports du Commandement central des États-Unis, mais aucun incident impliquant des victimes civiles n'a été signalé à ce jour. Cette décision reflète les intérêts stratégiques de la Nouvelle-Zélande dans la sécurisation des voies maritimes pour le commerce, soulignant l'importance économique et géostratégique de la région pour le pays.