La semaine dernière, le chef de l’opposition vénézuélienne, Juan Guaidó, s'est auto-proclamé président par intérim du Venezuela et a rapidement obtenu le soutien des États-Unis, du Royaume-Uni, du Canada et de certains pays d'Amérique latine.
À la différence de ses alliés, dont l’Australie lundi dernier, le gouvernement néo-zélandais refuse de prendre parti dans la crise des dirigeants vénézuéliens et ne reconnaît pas officiellement l'un ou l'autre de ces dirigeants.
Le ministre des affaires étrangères, Winston Peters, a d’ailleurs déclaré cette semaine que le pays doit "décider de son avenir par le biais d'élections libres et équitables” avant que Jacinda Arden ne lui emboîte le pas :
Ce que nous faisons en tant que pays, et à juste titre, est de dénoncer les violations des droits de l’homme or il est absolument clair que les personnes souffrent sous le régime actuel et qu'elles méritent l'accès à leurs droits et libertés démocratiques
(Sources : TheGuardian.com)