Après un premier article sur le British Film Festival à l’accent très… anglais, prenez le temps, ce week-end, de vous assoir confortablement sur un transatlantique et rejoindre les États- Unis. En effet, ce festival du film britannique nous donne aussi l’occasion de mettre en lumière la connexion entre le Royaume-Uni avec l’ami Américain dans l’industrie cinématographique.
Une relation merveilleusement mise en scène par Richard Curtis dans le cultisme film de Noël « Love Actually » et le très personnel speech de Hugh Grant ! Une liaison privilégiée aussi, forte et durable qui accouche d'ailleurs très souvent de belles co-productions entre ces nations unies.
Pour le cinéma britannique, Hollywood c’est un peu Docteur Jekyll et Mister Hyde.
D’un côté, des opportunités de financements, une force de distribution inégalable et une reconnaissance internationale pour ses acteurs et ses auteurs (Keira Knightley, Tim Roth, Clive Owen, Ridley Scott et bien d’autres). De l’autre, un rapport de force inégal qui laisse peu d’espace pour le cinéma britannique indépendant. La langue anglaise étant dans ce cas une force et une faiblesse.
Cette force, elle se retrouve dans de nombreux films diffusés ici en Nouvelle-Zélande (souvent en avant-première) dans le cadre du British Film Festival. En voici une petite sélection non exhaustive. On vous laisse parcourir le programme ici et découvrir quel accent vous préférez !
"The Aeronauts" de Tom Harper
Plus d'information sur les séances à venir à Auckland et à Wellington
"Official Secret" de Gavin Hood
Plus d'information sur les séances à venir à Auckland et à Wellington
"The Professor and the Madman" de Farhad Safinia
Plus d'information sur les séances à venir à Auckland et à Wellington
"Robert The Bruce" de Richard Gray
Plus d'information sur les séances à venir à Auckland et à Wellington
Un petit mot également avec cette bonne nouvelle pour le court documentaire « Little Miss Sumo » sélectionné lors du Show Me Shorts Festival et disponible pour une session de rattrapage sur Netflix !