Écrit par Lepetitjournal.com International
Publié le 1 janvier 1970, mis à jour le 9 janvier 2018
Elle en a fait du chemin depuis sa création aux Etats-Unis en 1908.
Adoptée par le basketteur Chuck Taylor, puis popularisée par James Dean
dans les années 50, la Converse se porte aujourd'hui à toutes les sauces
En France, la marque avait fait les choses en grand le mois dernier. Le 11 septembre, un concert privé était organisé au célèbre Showcase, à Paris, avec en tête d'affiche le non moins fameux Iggy Pop et ses Stooges. Pour espérer entrer, il fallait être paré de ses plus belles Converse. De la chanteuse Emma Daumas au comédien Bruno Putzulu, en passant par Virginie Efira et Philippe Manoeuvre, nombreux étaient les pipoles à avoir fait le déplacement pour participer à ce coup ultra-médiatique.
LA basket. Des styles
D'une paire de chaussures populaire, la Converse est devenue un objet tendance et rock'n'roll aujourd'hui. Il faut débourser entre 59 ? en moyenne pour le modèle classique (blanc ou gris), et 95 ? minimum pour la version en cuir.
Elle adopte tous les motifs et toutes les couleurs imaginables. Montantes ou basses, en toile ou en tissu, cloutée ou customisée avec les dessins de son choix et des artistes engagés pour l'occasion, la Converse ne trouve plus preneur qu'auprès des ados au look streetwear. De 7 à 77 ans, toutes les générations s'y essayent à présent. Il existe même des lignes pour bébés.
Il est vrai que son côté pratique et décontracté, allié au fait qu'elle s'assortit avec à peu près n'importe quel vêtement, font de la Converse l'élément de la garde-robe indémodable par excellence. Pour le côté sportif, et la réputation de chaussure des pauvres, on repassera par contre. Rachetée par Nike en 2003, la prolo s'est définitivement transformée en bobo.
Nicolas MANGIN. (www.lepetitjournal.com) lundi 20 octobre 2008
La Converse se convertit à tous les goûts (photo Converse)
Débutant son parcours bien avant Nike et Adidas, la Converse en a avalé des kilomètres en 100 ans d'existence ! Et ce n'est pas prêt de s'arrêter. En cette année 2008, la Converse aurait pu être usée, dépassée par l'immense gamme de baskets qui s'offre aux consommateurs. Bien au contraire. A la pointe de la mode, grâce aux effets centenaire et vintage combinés, elle n'a jamais été aussi attachée à nos pieds.En France, la marque avait fait les choses en grand le mois dernier. Le 11 septembre, un concert privé était organisé au célèbre Showcase, à Paris, avec en tête d'affiche le non moins fameux Iggy Pop et ses Stooges. Pour espérer entrer, il fallait être paré de ses plus belles Converse. De la chanteuse Emma Daumas au comédien Bruno Putzulu, en passant par Virginie Efira et Philippe Manoeuvre, nombreux étaient les pipoles à avoir fait le déplacement pour participer à ce coup ultra-médiatique.
LA basket. Des styles
D'une paire de chaussures populaire, la Converse est devenue un objet tendance et rock'n'roll aujourd'hui. Il faut débourser entre 59 ? en moyenne pour le modèle classique (blanc ou gris), et 95 ? minimum pour la version en cuir.
Elle adopte tous les motifs et toutes les couleurs imaginables. Montantes ou basses, en toile ou en tissu, cloutée ou customisée avec les dessins de son choix et des artistes engagés pour l'occasion, la Converse ne trouve plus preneur qu'auprès des ados au look streetwear. De 7 à 77 ans, toutes les générations s'y essayent à présent. Il existe même des lignes pour bébés.
Il est vrai que son côté pratique et décontracté, allié au fait qu'elle s'assortit avec à peu près n'importe quel vêtement, font de la Converse l'élément de la garde-robe indémodable par excellence. Pour le côté sportif, et la réputation de chaussure des pauvres, on repassera par contre. Rachetée par Nike en 2003, la prolo s'est définitivement transformée en bobo.
Nicolas MANGIN. (www.lepetitjournal.com) lundi 20 octobre 2008
Publié le 20 octobre 2008, mis à jour le 9 janvier 2018
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