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Avec la phytothérapie, le cancer n’est plus une fatalité !

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Écrit par Lepetitjournal.com Varsovie
Publié le 8 juillet 2020, mis à jour le 8 juillet 2020

"L'ignorance de la médecine conventionnelle quant aux effets bénéfiques de la vilcacora m'a conduit à entamer des recherches sur cette plante extraordinaire. Ce que j'ai découvert a dépassé mes attentes les plus folles..." Feu le professeur Mieczysław Kuraś.

profesor Kuraś

 

Depuis plus de 20 ans, il existe un centre d’aide au traitement des maladies de civilisation à Łomianki près de Varsovie - le Centre d’herboristerie Wilcaccora (Centrum Ziołolecznictwa Wilcaccora). La société représente l'Institut du Père Edmund Szeliga (IPIFA) à Lima. Ce centre rassemble autour de lui des passionnés des traitements par les plantes – des médecins, des pharmaciens, des botanistes.

 

Les traitements et les préparations naturelles à base de plantes créés par le Centre s'appuient sur des siècles de tradition (des recettes ancestrales des Amérindiens), des études scientifiques (www.unadegato.pl , onglet recherches) tout en utilisant les connaissances les plus modernes. Chaque patient est traité individuellement, ce qui donne de bons résultats sur sa santé.

Le centre coopère étroitement avec des scientifiques, entre autres avec l'aide inestimable du professeur Krzysztof Gulewicz de Poznań et du docteur Julita Nowakowska de Varsovie.

 

Entretien avec Marta Skolmowska, propriétaire du Centre d'Herboristerie Wilcaccora à Łomianki

Marta Skolmowska

 

Lepetitjournal.com : On dit que la jungle est la pharmacie du monde. Les plantes amazoniennes ont-elles vraiment un tel pouvoir et une telle utilité même dans le cas de maladies graves comme le cancer ?

Marta Skolmowska : Le Pérou est une région de la Terre considérée comme non polluée. La diversité des espèces végétales est ici la plus grande. La terre des Incas contient des minéraux et des éléments précieux, ce qui rend les plantes qui y poussent extrêmement puissantes. Des conditions uniques (78 climats au Pérou), l'humidité, les variations de température, les fortes précipitations, les sédiments fluviaux de l’Amazone - tout cela donne à l'Amazonie une flore luxuriante unique. Les botanistes y ont découvert environ 60.000 espèces, 80 % de ces plantes ayant des propriétés médicinales et 3.000 plantes ayant des propriétés anticancéreuses.

 

Lepetitjournal.com : Votre plante phare est la vilcacora (Uncaria tomentosa). Pourquoi ?

Marta Skolmowska : "L'herbe sacrée des Incas" - La fabuleuse vilcacora – a été en mai 1994, lors de la première conférence internationale à Genève, reconnue comme la deuxième plante la plus importante pour la santé (après le cinchona – ou quinquina -). Les Indiens qui boivent du thé concocté à partir de ses feuilles n'ont pas de crise cardiaque, ne souffrent pas du cancer ni de la maladie d'Alzheimer. Ce phénomène est basé, entre autres, sur l'action dite sélective : elle inhibe la division des cellules cancéreuses sans endommager les cellules saines. Il existe de nombreuses études sur la vilcacora dans le monde et en Pologne (feu Prof. Mieczysław Kuraś, Prof. Krzysztof Gulewicz entre autres).

vilcacora

 

Lepetitjournal.com : Il y a beaucoup de vilcacora sur le marché, laquelle choisir ?

Marta Skolmowska : Je vais vous répondre sans guère de modestie - nous importons des matières premières de qualité certifiée, testées phytochimiquement et microbiologiquement (Faculté de Biologie de l’Université de Varsovie, société Hamilton). Des recherches scientifiques sont menées sur notre matière première.

 

Lepetitjournal.com : Et les autres herbes ?

Marta Skolmowska : Nous avons une deuxième plante tout aussi merveilleuse qui est la Graviola (Annona muricata), utilisée pour les cancers du sein, de la prostate, du cerveau (gliome) entre autres. ATTENTION ! La vilcacora et la graviola ne doivent pas être combinées dans une même préparation.

 

Lepetitjournal.com : J'ai entendu des avis de botanistes selon lesquels, même si de nouvelles maladies humaines devaient apparaître, la jungle possède des plantes adaptées.

Marta Skolmowska : Oui, et pour ces recherches, de l’argent est nécessaire... Pour en revenir à la vilcacora, des recherches scientifiques ont montré que l'apoptose des cellules cancéreuses est causée par des alcaloïdes pentacycliques indoles. Seule notre société dispose d'un extrait avec ces alcaloïdes isolés. La matière première a été collectée au bon moment et au bon endroit - dans des régions spécifiques d'Amérique du Sud. Les alcaloïdes oxindoles pentacycliques ont des effets anticancéreux et antiviraux.

 

Lepetitjournal.com : Vous avez créé des combinaisons de plantes uniques : Ganomix, Gano-tumeric, Inkas Czaga Esperanza. Comment et pourquoi ont-elles été créées ?

Marta Skolmowska : Ces produits ont été créés à la suite de recherches scientifiques, par exemple sur les effets du Ganomix sur les fibroblastes de la peau et les cellules de mélanome (article intitulé "Mitotic activity of a new phytotherapeutic product with a trade name of "Ganomix", publié le 4 juin 2016 dans Caryologia, International Journal of Cytology, Cytosystematics and Cytogenetics). D'autres études scientifiques ont montré que l'utilisation du Ganomix avant une chimiothérapie peut entraîner le retour de cellules cancéreuses auparavant chimiquement insensibles à un état de sensibilité aux médicaments utilisés précédemment (Uncaria tomentosa Leaves Decoction Modulates Differently ROS Production in Cancer and Normal Cells, and Effects Cisplatin Cytotoxicity" publié dans Molecules en 2017).

Ganomix

 

Lepetitjournal.com : Pouvez-vous nous donner un exemple d’un patient atteint d'un cancer qui a vu son état s’améliorer ?

Marta Skolmowska : Bien entendu. Un patient atteint d’un cancer de la prostate (PSA 60 ng/ml). Après notre traitement, le taux est tombé à 0,01 ng/ml, un homme désormais en très bonne forme. Un autre patient atteint d'un cancer du poumon, après une opération pour enlever une lésion métastatique, après une radiothérapie - jusqu'à présent sans signe de rechute. Dans notre centre, nous faisons du soutien thérapeutique en parallèle avec le traitement conventionnel et nous n'encourageons personne à renoncer à la chimiothérapie ni à la radiothérapie. Nous sommes guidés par le principe sacré d'Hippocrate Primum non nocere (tout d’abord, ne pas nuire).

 

Lepetitjournal.com : Quels sont les patients que vous recevez ? Et qu'en est-il des patients que la médecine ne peut plus aider ?

Marta Skolmowska : Nous nous battons pour la santé de chaque patient, quel que soit son état de santé. Parfois, les résultats sont même surprenants pour nous. Comme une femme de 61 ans, une personne dépendante, qui a une tumeur au cerveau avec des métastases. État actuel : la patiente a une dose minimale de stéroïdes, participe activement à des activités à domicile, après 10 mois elle a été qualifiée pour avoir une irradiation ciblée. Nous avons bon espoir.

 

Lepetitjournal.com : Où peut-on obtenir des conseils ?

Marta Skolmowska : Nous effectuons des consultations au Centre d’herboristerie Wilcaccora (Centrum Ziołolecznictwa Wilcaccora) à Łomianki (ul. Warszawska 71 A) ou par téléphone (+48 22 751 65 07 ; +48 22 751 85 43).