Ils sont jeunes et cinéastes, Algonquins, Kunas ou Micmacs. Ces Amérindiens attirent les projecteurs sur leurs peuples souvent qualifiés d'invisibles grâce à la création artistique, et le cinéma est pour eux un outil d'émancipation.
"Sans remonter au temps du noir et blanc, le cinéma nous représentait il n'y a encore pas si longtemps par le cliché de +l'indien sauvage+, une image créée de toutes pièces par les blancs", note Emilio Wawatie.
Pour battre en brèche cette image, il s'est lancé à 18 ans dans le cinéma, il y a sept ans...Lire la suite sur notre édition internationale