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Séoul, l’un des symboles de la flambée de l’immobilier asiatique

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Écrit par Pierre
Publié le 24 janvier 2018, mis à jour le 24 janvier 2018

Vivre en Asie coûte cher. Voire très cher pour les expatriés. Plus de la moitié des 50 villes les plus onéreuses pour les étrangers proviennent de ce continent. Un classement qui résulte d’une étude menée par l’agence de conseil Employment Conditions Abroad (ECA).

 

Les loyers des villes asiatiques figurent parmi les plus chers au monde. Et Séoul se situe au pied du podium de la région Asie-Pacifique.

Si la capitale sud-coréenne perd une place au profit de Shanghai, elle reste l’une des 240 destinations les plus onéreuse pour les expatriés de passage au pays du Matin calme.

Cette étude menée par l’agence de conseil Employment conditions abroad (ECA) est basée sur le coût mensuel d’un appartement non meublé de trois chambres, situé dans un quartier prisé par les étrangers.

 

La présence de grandes villes d’Asie dans ce classement est l’une des conclusions des travaux menés par ECA. Car à l’échelle internationale, pas moins de 26 villes asiatiques y sont présentes.

Parmi celles-ci, Hong Kong, Tokyo, Shanghai et Séoul qui dominent le classement Asie-Pacifique. Mais aussi Mumbai et Pékin, comme 13 autres villes chinoises. À contrario, seules trois villes des pays de l’Union européenne et des États-Unis figurent parmi les 50 endroits les plus chers où vivre pour les étrangers.

 

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Londres et Hong Kong, toujours en tête


Hong-Kong écrase toute concurrence dans le classement Asie-Pacifique du cabinet de conseil ECA. Et pour preuve, les loyers y sont 20% plus élevés qu’à Tokyo, qui commence l’année en deuxième position.

Une situation qui "ne changera pas jusqu'à ce que nous ayons une autre crise financière" affirme Thomas Lam, responsable d’évaluation et de conseil à Knight Frank, spécialiste de l’immobilier d’entreprise.

Dans cette ville, "la demande est encore forte et nous prévoyons que le prix augmentera cette année". Cette tendance, les pays d’Asie du Sud-Est ne la partagent pas. À Kuala Lumpur ou Singapour, les loyers baissent. De manière drastique parfois. La cité-état par exemple, du fait de nouvelles restrictions à l’immigration, a subi une baisse des prix de 15%.  

Sur le vieux continent, Londres entame une nouvelle fois l’année avec le statut de ville la plus chère en ce qui concerne la location. Tandis que Paris pointe à la septième place, devant Amsterdam et Dublin.

 

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Publié le 24 janvier 2018, mis à jour le 24 janvier 2018

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