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PUBLI-REDACTIONNEL – Investissement: mode d'emploi

Pour Jérémy Grey, Vice-Président de Globaleye à Singapour, spécialisé dans le conseil en gestion de patrimoine, le temps est un ami pour ceux qui investissent. Autant, dans ces conditions, commencer à épargner dès que sa situation le permet et investir cet argent plutôt que de le laisser dormir. Une manière efficace de bien préparer l'avenir et le financement de ses projets.

Global Eye, le temps est un ami
Qu'entend-on par investir ?

Jérémy Grey - Le fait d'investir renvoie à deux réalités différentes selon qu'il s'agit d'une somme d'argent dont on dispose et que l'on souhaite placer à un moment donné, ou bien de versements réguliers. Dans les deux cas, ce qui est en jeu, c'est de mettre de l'argent de côté et de ne pas le laisser dormir, car dans un contexte d'inflation globalement de 3% c'est l'équivalent de la moitié du capital, en pouvoir d'achat, qui est perdu tous les 20 ans. Il est ainsi essentiel d'épargner chaque mois, en utilisant un effet de levier, pour garantir son indépendance financière le jour de sa retraite ou dans la perspective de projets tels que l'éducation des enfants.

Comment fait-on pour exploiter ces effets de levier ?

- Une manière de le faire est d'acheter un bien immobilier destiné à la location. L'autre est de placer à intervalle régulier une certaine somme d'argent. Dans le premier cas, l'investissement est financé par un emprunt à la banque et il est remboursé par la perception de loyers. En fin de période, le bien sera remboursé intégralement et génèrera, idéalement, un revenu. Dans le cas de l'épargne mensuelle, les capitaux investis produisent des intérêts qui sont eux-mêmes réinvestis de mois en mois grossissant au fur et à mesure, de manière exponentielle, la base de capital. C'est ce que l'on appelle les intérêts composés. L'avantage de cette deuxième option est de se retrouver à terme avec une grande part de liquidité qui offrira ainsi de la flexibilité à l'investisseur de disposer de son argent, à l'inverse du bien immobilier où l'argent est bloqué dans un bien qu'il n'est pas forcément facile à vendre si l'on veut récupérer son argent rapidement. Comme on ne sait jamais de quoi demain sera fait, garder de la flexibilité est toujours très important.

Le fait de vivre à l'étranger présente-t-il un intérêt particulier quand il s'agit d'investissement ?

- Le plus déterminant, c'est le fait même de vivre à l'étranger. Bien souvent, l'expatriation concerne des couples de cadres dynamiques et ambitieux qui disposent, dans ce contexte, d'une capacité d'épargne qui est sans commune mesure avec celle qu'ils avaient auparavant, dans leur pays d'origine. Il faut donc saisir cette opportunité et épargner autant que possible.

Quand faut-il commencer ?

- En matière d'épargne, ce qui compte c'est de s'auto discipliner pour y parvenir. Beaucoup ne le font pas. Ils dépensent tout, quand bien même ils disposent de revenus confortables. L'expatrié devrait se fixer pour règle d'étudier ce qu'il dépense chaque mois et de garder en argent disponible l'équivalent de 3 à 6 mois de dépenses. Le reste, il a tout intérêt à l'investir, et ce, le plus tôt possible.

La première étape consiste à faire un bilan personnel pour faire le point sur sa situation financière, ses projets, ses besoins ; préciser la capacité d'épargne dont on dispose et déterminer le niveau de risque avec lequel on est à l'aise. Ce bilan chez Globaleye est gratuit et sans engagement. Il est également important d'envisager tous les aléas qui peuvent intervenir au cours d'une carrière. Il y a par exemple les risques de maladies, d'invalidité, et de décès contre lesquels il faut se prémunir. Il y a aussi tout ce qui touche à la mobilité elle-même. Si vous êtes amené à déménager régulièrement d'un pays à un autre, il faut s'assurer de la flexibilité de ses choix d'investissement. Investir dans l'immobilier, par exemple, peut poser problème lorsque vous partez. Si vous ne parvenez pas à vendre le bien et ne pouvez légalement le mettre en location, cela peut vous coûter cher.

Global Eye
Quelle différence faites-vous entre l'investissement ponctuel d'un capital et l'investissement régulier d'une certaine somme tous les mois ?


- Ce que l'investisseur doit comprendre c'est que le temps est son allié. L'économie est, par essence, cyclique. Les différents marchés connaissent des phases de hausse qui alternent avec des phases de baisse. Si l'on observe ce qui s'est passé au moment de la crise de 2008, la valeur des investissements a d'abord subi un fort impact marqué par une baisse de l'ordre de 20-30%. Mais les marchés, après une phase de marasme, sont ensuite repartis à la hausse et en 2013, ils avaient rattrapé leur niveau d'avant la crise.

Face à une crise comme celle de 2008, il y a 3 types de comportement pour l'investisseur d'une somme fixe.  Premièrement, il peut paniquer et réagir en vendant. Dans ce cas, il subit une importante perte mais avec le sentiment de la minimiser. Il peut aussi être pragmatique et attendre que cela remonte ou il peut également profiter de la baisse des prix pour acheter d'avantage dans l'optique de faire un profit lorsque les prix se remettront à niveau. En 2008, ceux qui ont décidé d'attendre ont retrouvé, en 2013, l'intégralité de leur investissement, mais pas plus.

La situation est différente lorsqu' il s'agit d'investissements réguliers, car si les investissements subissent les effets des baisses, ils bénéficient également des périodes où les placements se font au plus bas. Le temps passant, il annule les effets des crises et permet même d'en profiter. C'est ce que l'on appelle la méthode de moyenne d'achat ou aussi méthode d'achats périodiques par sommes fixes, ou en anglais, le « dollar cost averaging ».

Comment juger du niveau de performance d'un investissement ?

- C'est une question pertinente à laquelle il est très difficile de répondre. Il est primordial de déterminer le profil de risque du client. Chez Globaleye, nous appliquons une grille qui comprend 5 niveaux d'appétit au risque.  Tout dépend de ce que cherche le client. Il ne faut pas décider à sa place. Pour une personne d'un certain âge, l'important est souvent de générer un revenu régulier et d'en limiter absolument les risques ; quitte à se contenter d'une performance plus basse. Les jeunes professionnels par contre, compte tenu du temps qu'ils ont devant eux, peuvent se permettre de prendre davantage de risques.

Est-ce qu'il n'est pas plus rassurant pour un particulier d'investir dans l'immobilier, qui lui paraît plus familier, que dans des produits financiers ?

- L'idéal est de faire les deux. L'investissement immobilier est un placement comme un autre. ll faut, par contre, être conscient qu'il est souvent plus complexe que ce que l'on imagine. Il implique une compréhension complète du marché dans lequel on souhaite investir. Le recours à l'emprunt lui-même nécessite un certain nombre de précautions quant aux critères de sélection du meilleur mode de financement et des modalités de prêt. Il faut être attentif à la fiscalité qui peut être très lourde et bien prendre en considération que la location d'un bien à distance n'est pas un long fleuve tranquille. Certains problèmes, tels qu'une fuite d'eau par exemple, ou un locataire qui ne paye pas son loyer, peuvent vous projeter dans un imbroglio juridique, des procédures longues et fastidieuses mais aussi onéreuses.

En conclusion, quelles solutions envisager ? Quelles démarches entreprendre ?

- Presque tous les Français, que nous rencontrons, tendent à avoir de la liquidité éparpillée sur bon nombre de supports typiques, tels que des comptes courants ou de dépôt : Livrets A, Plans d'Epargne Entreprise, Plans d'Epargne Logement, Plans d'Epargne en Actions, Assurances-vie et autres. L'important est ici, tout d'abord, de consolider ses actifs sur une plateforme où l'on a 100% de contrôle et de visibilité, offrant ainsi un maximum de flexibilité et de transparence. Une plateforme qui soit fiscalement avantageuse aujourd'hui, mais aussi à l'avenir.

Il faut ensuite investir son argent judicieusement, idéalement par l'intermédiaire d'un gérant en patrimoine en qui l'on a toute confiance, qui a une excellente réputation et une performance antérieure prouvée.

Présent sur 3 continents et opérant à travers 10 bureaux, Globaleye gère aujourd'hui plus de 2 milliards de Dollars américains pour plus de 10.000 clients à travers le monde. Nous offrons un conseil personnalisé, non-biaisé, car nous ne sommes liés à aucune banque ou compagnie d'investissements en particulier. Nos solutions et services sont établis en fonction de vos besoins spécifiques et de vos objectifs uniques.

N'hésitez pas à nous contacter afin de bénéficier d'un bilan patrimonial complet et gratuit.
Une équipe française qui comprend vos besoins et préoccupations vous est exclusivement dédiée.

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Publi-rédactionnel réalisé par (lepetitjournal.com/singapour), vendredi 8 septembre 2017.

Article initialement publié le lundi 3 avril 2017