Les recos de l'IFM: semaine du 14 mai au 18 mai

Mai 68, il y a 50 ans en France et cette semaine encore à Madrid. Du ciné, de la danse, des rencontres littéraires : l'esprit sera à la contestation à l'Institut français.

Lundi 14 mai – 20h – IFM
CINÉMA - "Le fond de l’air est rouge" de Chris Marker, CYCLE mai 68
Ce documentaire présente un tour d’horizon sur la montée et le déclin des mouvements de Gauche dans le monde. Le film, monté comme un collage d’images d’archives, est divisé en deux parties. La première, "Les mains fragiles", décrit les mouvements politiques de la Gauche à la fin des années 1960. La deuxième, "Les mains coupées", montre la réponse conservatrice de Droite après le Printemps de Prague (1968).
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Vente en ligne : 4€

Mercredi 16 mai – 20h – IFM
DANSE/HIP-HOP - "Le Cri" de la compagnie DYPTIK
Le Cri est la dernière création de la compagnie de danse Dyptik. Il s’agit d’une pièce chorégraphique interprétée par trois danseurs qui explore le champ de la révolte à travers les émotions et l’expression. Le spectacle s’inscrit dans le contexte actuel où les images se multiplient en nous montrant des contradictions et des réalités bien différentes.
Dyptik est une compagnie de danse hip-hop fondée en 2012 par les chorégraphes Souhail Marchiche et Mehdi Meghari. Dès lors, elle a exploré le thème de l’identité, à travers les pièces En quête (2012) et Dyptik (2014). Elle se concentre ensuite sur le champ de la révolte avec D-Construction (2016), Dans l’engrenage (2017) et Le Cri (2018). La compagnie développe également de nombreuses actions culturelles autour de ses créations, et est à l’origine du festival TRAX, créé́ en 2014, dont la 5e édition aura lieu du 5 au 17 juin 2018 à Saint-Étienne.
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Vente en ligne : 4€ 

Vendredi 18 mai – 20h – Médiathèque 
PRÉSENTATION LITTÉRAIRE - "Déjeuner des barricades" avec Pauline Dreyfus, dans le cadre du  50e anniversaire Mai 68
22 Mai 1968. Paris est paralysé par la grève générale. Les rues sont bloquées par les barricades. Le pays est en état de choc. À l’Hôtel Meurice, situé au numéro 228 de l’élégante rue de Rivoli, les employés ont décidé de laisser le directeur de côté et de se lancer dans l’autogestion du négoce. Malgré l’ambiance révolutionnaire qui parcourt les rues, la vie continue et ce jour est également celui de la remise d’un prix littéraire, le fameux prix Nimier, à un jeune auteur encore inconnu, Patrick Modiano.
Rencontre modérée par l’écrivain et journaliste espagnol Ignacio Vidal-Folch
En français et en espagnol avec traduction simultanée. Entrée libre dans la limite des places disponibles. Réservation recommandée.
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Inscription en ligne (événement gratuit).