« En septembre, je me mets au Tamoul ».
Une résolution de l’été qui, depuis trois ans, est restée dans un tiroir…ou a été suivie d’effets, à renfort de cours particuliers aussi harassants qu’enthousiasmants.
La décision d’apprendre la langue locale du pays est souvent l’un des dilemmes de l’expatrié, surtout dans les pays où la pratique de l’anglais est fluide et confortable, à la rue comme au bureau.
Pourquoi avez-vous décidé de sauter le pas ? Qu’est-ce que cela a changé dans votre expatriation ? Avez-vous, à l’inverse, jugé superflu l’apprentissage de la langue locale dans votre pays d’accueil ?
Dans le cadre d’un futur article, votre expérience nous intéresse. Témoignez-vite en nous écrivant à votreavis(at)lepetitjournal.com