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ESSCA – Trouve le stagiaire dont tu as besoin !

Écrit par Lepetitjournal Brisbane
Publié le 28 juillet 2016, mis à jour le 29 juillet 2016

 

Julia Baber, dénicheuse de talent à l'école de commerce l'ESSCA cherche les stagiaires dont vous avez besoin.

Entreprise française implantée en Australie depuis longtemps, autoentrepreneur en quête de compétences complémentaires : il y a un stagiaire pour vous !

Une promesse que la très, très, très dynamique Julia Baber entend bien faire respecter. Cette baroudeuse et chef d'entreprise est un rouleau compresseur passionné à qui on dit difficilement non.

Julia est une habituée de la recherche de stagiaire, elle le fait aussi bien pour le compte de son entreprise que pour celui du « Gold Coast Bonjour French Festival », et ce depuis plusieurs années. Comme elle le confie non sans humour « j'ai arrêté de compter à 600 personnes vues en entretiens ».

Jeudi soir, elle se rendait à l'Alliance Française de Brisbane pour présenter à certaines entreprises et associations francophones l'école de commerce l'ESSCA qu'elle représente dans le monde entier : en Australie, en Thaïlande, à Dubaï puis bientôt à Londres, Hong Kong, Singapour et les États-Unis.

L'histoire commence il y a quelques années lorsqu'elle démarche les 265 écoles de commerce présentes en France afin de dénicher les parfaits stagiaires pour des entreprises de la Gold Coast.

Séduit par sa démarche l'ESSCA, située à Angers, décide de l'embaucher. Elle démarchait toutes les écoles pour un seul lieu, dorénavant elle n'en représentera qu'une, mais sans frontière.

L'ESSCA est originellement située à Angers depuis 1909. A la rentrée prochaine c'est 5 villes françaises qui seront ses hôtes (Angers, Paris depuis 2010, et nouvellement Bordeaux, Aix-en-Provence, Lyon), et 2 villes du monde (Shanghai et Budapest).

Membre de la Conférence des Grandes Écoles (CGE), l'ESSCA dispose des accréditations AACSB, EQUIS et EPAS, gage de la qualité de ses enseignements et de ses étudiants (si vous devez recruter, faites attention à ces acronymes).  

Le rôle de Julia est d'être le Tinder entre les stagiaires et les entreprises (pour utiliser une métaphore de la nouvelle génération), un seul but donc : LE MATCH !

D'un côté, elle accompagne les étudiants dans l'élaboration de leur projet et dans la mise en valeur de leurs profils respectifs. D'un autre, elle entre en contact avec les entreprises ou les associations pour qu'ils mettent à plat leurs besoins (le tout gratuitement).

Elle aide les entrepreneurs à comprendre les compétences nécessaires au développement de leur business (il vaut mieux s'y prendre six mois à l'avance) et à trouver le profil qui leurs corresponds à eux et à personne d'autre.

C'est la rencontre de l'offre et de la demande, vient ensuite les entretiens, des moments auxquels Julia ne participe pas.

En toute logique son travail s'arrête là et vous n'aurez plus affaire à elle, sauf en cas de problème avec votre stagiaire ou pour toute interrogation bien sûr (je ne le vous souhaite pas).

Comme elle le martèle volontiers : c'est un cercle vertueux qu'elle entend mettre en place entre les entreprises et les étudiants en « bannissant définitivement les stages cafés/photocopies ! ».

En septembre ils seront un peu moins de 630 étudiants en première année à devoir valider une expérience internationale, dont 20% devraient se tourner vers le stage (dont Selma et Clara en visioconférence sur la photo, deux perles rares de Julia).

C'est donc un total de 126 jeunes français bilingues et motivés qui n'attendent plus que vos propositions. Marketing, Finance, Design? « Tous les goûts sont dans l'ESSCA ».

S'il existe le profil qui vous correspond, Julia le trouvera c'est certain. Pour ceux dont les budgets ne permettent pas d'embaucher un stagiaire « no worries », la législation australienne est très souple à ce sujet (que ça ne devienne pas une excuse par contre).

Comme le dit Julia : « il y a autre chose que le dollar dans la vie, on peut payer en expérience, en opportunité, en réseau? ». De son propre aveu « je cherche davantage à ce que mes étudiants soient heureux et il ne faut pas résumer le bonheur à l'argent ».

Pour plus d'information n'hésitez pas à contacter Julia Baber par mail à l'adresse suivante : Julia.baber@essca.fr.

Bonne recherche chers chefs d'entreprises et entrepreneurs en espérant pour vous le Match parfait !

MP (lepetitjournal.com/brisbane), vendredi 29 juillet 2016.

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Publié le 28 juillet 2016, mis à jour le 29 juillet 2016

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